Samedi 6 octobre 6 06 /10 /Oct 22:00
J'aurai pu être une femme comme les autres. J'ai été une petite fille tranquille, une adolescente peu tentée par les garçons, une épouse consciencieuse mais sans plus. Après mon divorce, j'ai continué une vie morne et sans intérêt.

J'étais secrétaire de direction et mon directeur me laissait organiser mon travail à ma guise. Mes sorties consistaient à aller au restaurant et au théâtre avec des amies de travail. La vie me pesait par sa routine. Chaque fois qu'on parlait de ça, elles s'étonnaient que j'ai si peu de désir pour le sexe.

Oui, je n'avais pas de désir. Peut-être parce que j'avais été une rêveuse pendant que mes copines couraient après les garçons, parce que mon mariage ne m'avait apporté aucun plaisir de ce côté-là.

C'est pour ça que nous avons divorcé. Mon mari s'efforçait de me prendre aussi souvent que possible et moi je me soumettais à son plaisir, n'ayant jamais envie de lui demander de le faire, n'ayant aucun désir de le faire. Le voir s'agiter sur moi, devoir me laver ensuite. Peut-être qu'un enfant aurait pu changer tout ça mais mon mari se contentait de dire que nous avions le temps de le faire, que nos carrières nous importaient plus.

On s'est alors séparés comme on s'était mariés. Je l'avais vu, sans plus, lors de réunions puis un jour il est venu vers moi alors que j'étais seule dans mon coin et il m'a proposé de m'épouser. J'ai tout de suite cru que ça y était.

Il fallait bien que je le fasse. J'avais 24 ans et toutes mes amies d'enfance étaient mariées ou étaient gouines. Oui, et je trouvais ça curieux que sur six, deux soient lesbiennes. J'aurai dû le savoir ou le comprendre parce que je les avais vu quelquefois se bécoter à pleine bouche et je m'étais dit que c'était dégoûtant que des filles... mais c'étaient mes amies tout de même. Les autres faisaient des enfants et l'une d'elles mettait les bouchées doubles. Mariée à dix-sept ans parce qu'enceinte, elle en était à six!

Mais quand nous en trouvions le moyen nous étions heureuses de nous retrouver, toujours toutes seules, sans nos compagnons ou compagnes.

C'était une belle fête. Sur les cinq heures du matin nous nous étions retirés de la fête et mon mari pour la première fois allait me faire l'amour. J'étais vierge ou presque parce qu'à force d'entendre mes amies parler de leurs amours et de leurs expériences, un jour, je m'étais enfoncée le manche de ma brosse à cheveux. Ça avait été pénible puis agréable de le sentir au fond de mon ventre mais je me suis demandé quel plaisir on pouvait avoir à faire ça. Je m'étais aussi caressée mais je n'en avais jamais eu que de l'irritation. Aujourd'hui je dirais que je n'avais pas été assez patiente pour attendre que ça vienne.

Nous nous étions déshabillés puis mon mari m'avait fait allonger sur le lit et il s'était couché sur moi et m'avait pénétrée. Je ne saurai jamais s'il avait de l'expérience. En tout cas, c'était toujours la même chose, lui sur moi qui s'agitait jusqu'à ce qu'il m'abandonne son sperme. La nuit de mes noces j'étais restée sans bouger, m'étais endormie en pensant qu'à l'aube je serais enceinte de ses ouvres.

Jusqu'à dix-huit ans j'avais été une gamine fluette, mince, sans poitrine et sans charme aucun. Puis, à la suite d'une maladie qui me cloua au lit pendant trois mois, ma poitrine se mit à pousser, pousser sans cesse. Monstrueuse même sur un torse si étroit, avec des aréoles immenses et des mamelons comme des dés à coudre. Je ne sais ce qui m'a fait devenir une femme. Je n'attirais pas les garçons, je n'attirais pas plus les hommes.

Ma mère était contente que ça me soit enfin arrivé, elle que j'avais toujours connue avec une belle poitrine. Mais la mienne n'a jamais été très ferme et tombe sur mon torse. Et moi qui n'avait jamais porté de soutien-gorge me voici dans les plus grandes tailles! Mais mes seins n'ont jamais attiré mon mari et il les a toujours délaissés, allant jusqu'à prétendre que c'était le signe que j'allais avoir plein d'enfants.

Quatre ans après nous avons divorcé et j'ai commencé ma vie de recluse, métro, boulot, dodo jusqu'à ce que je rencontre celui qui allait devenir mon second mari. Nous sortions du théâtre avec des amies quand il est venu droit vers moi et m'a dit qu'il m'invitait à dîner. Je me demandais ce qu'il m'arrivait et lui insistait sous les sourires de mes amies. Je l'envoyais promener. J'en étais débarrassé. Mes amies disaient que celui-là je ne le reverrais jamais. Mais la nuit-même, il me harcelait à la maison d'un coup de téléphone. Il m'a dit que j'avais des seins magnifiques. Ma première pensée fut que j'avais affaire à un goujat. Comment s'était-il procuré mon numéro de téléphone. Je raccrochais et me rendormais.

Le lendemain matin, en sortant de mon immeuble, il était devant la porte et me proposait de m'emmener où je voulais, tout du moins à mon travail. Il avait une BMW dont le moteur tournait devant la porte de l'immeuble. Pour ne pas attirer l'attention j'acceptais. On roula. Je lui avait dit dans quel quartier je travaillais. Puis à un feu rouge, il m'a dit qu'il avait envie de moi. Je ne savais quoi répondre. Cela faisait quinze ans que je n'avais pas fait l'amour mais ce n'était pas le problème. Il répéta que depuis qu'il m'avait vue il ne pensait qu'à moi. Je plaisantais que ça ne faisait qu'une nuit et il me dit que c'était une nuit perdue pour nous deux.

Et comme je ne répondais pas, il s'engouffra dans l'entrée d'un parking souterrain puis immobilisa la voiture dans un coin sombre. Aussitôt sa main se jeta entre mes cuisses. J'étais incapable de réagir et c'est mon corps qui a pris la relève. La main se faisait insistante et ne s'arrêta que lorsque les doigts furent sur mes lèvres. Puis le type me dit encore une fois que j'avais une belle poitrine et que c'était un crime de porter un soutien-gorge. C'était en septembre et il y avait de belles journées et c'en était une et j'avais mis une robe noire décolletée qui s'évasait presque à mon nombril. J'exagère! Je ne pensais plus aux hommes et je me faisais plaisir. En faisant ma toilette, j'aimais bien passer le gant sur mes seins, les tenir par les mamelons et les soulever autant que possible. J'aimais ma poitrine Après tout c'était sûrement ce que j'avais de plus beau et dans le miroir... Une de mes amies lesbiennes m'avait dit un jour que je plaisais à son amante et ça m'avait laissée toute chose. Pourrais-je devenir lesbienne? Non, je préférais rester comme ça, seule et disponible... Disponible...

Ce type me faisait un mauvais effet et je dégrafais néanmoins mon soutien-gorge pour libérer mes seins et les lui abandonner. Il ne s'en priva pas, les palpant à pleine main, en pinçant les mamelons, les tordant. Il avait mis sa main gauche en coupe sous mon sein droit et en avait saisi le mamelon entre pouce et index et c'était comme s'il le masturbait. J'avais essayé une fois, quand j'étais ado, de me masturber comme je l'ai dit précédemment, et sans succès. Mais il y a quelques années, une amie m'avait confié une cassette en me recxommandant chaudement de la regarder. J'en avais passé une nuit torturée par ce que j'avais vu, une femme qui masturbait le sexe de son homme jusqu'à ce qu'il éjacule et puis elle se masturbait jusqu'à obtenir un orgasme.

Je savais ce que c'était. Quand le type fut lassé de me tirer sur le mamelon, il descendit de voiture et la contourna pour venir à ma porte. Il m'invitait à sortir et moi je me disais qu'il allait m'assassiner dans ce coin sombre. Mais finalement je sortis. Il me poussa sur le capot de la voiture, mes seins nus sur le capot encore tiède et ma robe qu'il remontait sur mes hanches.

Et j'ai reçu le gland, comme un coup de hache qui me fendait en deux puis le membre qui me pénétrait, imposant, dominateur et qui m'explosait le ventre. Puis les mains sur mes hanches, sur mes seins, le frottement de son ventre sur mes fesses et surtout le membre qui me pénêtre et se retire. C'était sans fin. J'avais l'impression que ça durerait des heures puis il ralentit et l'homme me dit qu'il allait jouir. Ça je connaissais. Le foutre gicla contre ma matrice mais ce n'était pas pareil que dans mes souvenirs. Tout d'un coup, une douleur partit de mes fesses et vint dans mon ventre et je retrouvais sans jambes, anéantie. Lui restait planté bien au fond pour que je ne puisse m'échapper. Puis il se retira et je me redressais sur mes jambes, tenant ma robe serrée autour de ma taille, Puis le foutre se mit à couler sur mes jambes et je voulais y porter ma main comme j'avais appris à le faire mais l'homme m'en empêcha. Le sperme coulait sur mes cuisses, mes mollets, mes chevilles. J'étais aux trois quarts nue, les seins et le cul à l'air et je ne réagissait pas. Il posa sa main sur mes fesses et les caressa. En baissant les yeux, je vis qu'il bandait encore, à demi puis je ne sais comment je me retrouvais prise entre ses deux mains, à demi pliée, une de ses mains sur mes fesses, l'autre tenant mes seins. J'avais le bout des seins en vrille et cette main qui les soutenait leur faisait du bien. C'était douloureux mais acceptable.

Le type m'aida à m'essuyer avec son mouchoir. J'en avais plein sur les jambes et ma toison était toute poisseuse. C'est bizarre comme on réfléchit car je pensais qu'en octobre j'allais remettre mes bas et mes porte-jarretelles car j'ai toujours abhorré les collants. Tout d'un coup je réalisais que je n'avais pas enlevé ma culotte, qu'il l'avait simplement repoussée sur le côté de ma vulve pour libérer le passage. Et que ma culotte était toute trempée de notre plaisir. Je dis notre plaisir car j'ai compris plus tard que j'avais eu du plaisir. Tout du moins cette fois-là, mon corps avait joui. Il me regarda remettre mon soutien-gorge, peiner à replacer mes seins. Jusqu'à ce jour je n'ai pas trouvé de moyen plus pratique que de saisir mes seins par les mamelons et de les soulever avant de les reposer dans les bonnets.

Et nous sommes remontés dans la voiture. En roulant vers mon bureau, je lui demandais comment il avait eu mon téléphone et il m'avoua qu'une de mes amies avait été bienveillante. Il mettait sa main entre mes cuisses chaque fois qu'il en l'avait l'occasion et moi j'écartais les cuisses pour qu'il puisse aller encore plus profond. Au bureau, il m'appelait toutes les cinq minutes, ce qui rendit perplexe mon patron qui ne s'intéressait pas à moi parce qu'il était gay.

Je commençais à fréquenter mon étrange amant jusqu'au jour où il me demanda de venir vivre avec lui. Mais il ne dit pas que ça : nous faisions l'amour dans des parkings ou des garages, plusieurs fois dans un bois. Il me dit qu'il aimait le sexe absolu et que ce devrait être mon cas. Comme je ne comprenais pas, il m'expliqua que l'amour ne se résumait pas seulement à un homme et une femme et qu'on pouvait y mettre du piment. Je craignais de comprendre. Alors commença la grande explication. Il avait vite compris qu'il avait fait naître en moi le besoin, le besoin d'être prise et de faire l'amour, le besoin de ses mains sur mon corps et surtout sur mes seins. Jusque là il ne m'avait pas encore embrassé sur la bouche et par expérience je n'aimais pas ça.

Je frissonnais de désir et de dégoût à la fois mais je comprenais que c'était parce que je ne connaissais pas. Il m'expliqua que je devais savoir ce que c'était de faire l'amour avec une femme parce que certaine de mes amies étaient lesbiennes. Et que si je l'aimais assez j'accepterais de faire l'amour avec d'autres hommes, pas seulement un à la fois. Si mon cerveau avait du mal à l'admettre, mon corps avait besoin de tout ça. Mes seins, mes fesses, mes cuisses, mes mains s'irritaient à l'entendre parler de ce que serait notre vie. Dans la voiture qui m'emmenait vers sa maison de campagne, je m'aventurais à parler de ce que je ne connaissais que par oui-dire. Je lui demandais s'il était un sadique et il me répondit que le sado-masochisme n'était pas du sadisme, parce que les femmes aussi aiment ce plaisir-là. Par exemple, me dit-il, tu as les seins assez gros pour que je les attache. Même, si tu le veux je te suspendrai par la poitrine. Je peux te fesser et tu pourras me le faire, et je forcerai ton con avec des objets dont tu n'as pas idée.

Les premiers mois furent enchanteurs. J'apprenais et mon corps s'habituait. Il me faisait l'amour en m'attachant sur le lit ou bien me liait les seins si serrés qu'ils ne soient plus que boules. Jusque-là nous n'avons fait l'amour qu'en levrette et j'apprenais à bien le sucer, à avaler sa semence, à m'asseoir sur lui et à lui faire sucer mes mamelons puis je commençais à entraîner ma vulve, m'enfonçant sur des plugs de plus en plus larges, de plus en plus gros et j'y prenais de plus en plus de plaisir. Puis ce fut le tour de mon anus. Un soir je fus déflorée puis je fus pénétrée par des plugs là aussi.

Pour mes quarante ans il m'avait offert une belle bague de fiançailles. Je voyais mes amies de moins en moins souvent car je passait le plus clair de mon temps à apprendre. Je les avais vues si souvent enceinte que je commençais à penser que ce devait être mon tour. Il était temps. Jusque là je prenais la pilule. Je devais demander. Ce fut sans problème car je n'avais qu'à arrêter. Trois mois plus tard j'étais enceinte. Je sentais mon corps travailler, mes seins se durcir et mes désirs renforcés. Mon maître relâcha un peu son astreinte même si tous les soirs il continuait à me prendre. Je suis une femme docile et jamais je ne me soustrairai à son désir. Mes seins se transformaient en mamelles et mon ventre s'arrondissait. Quant à ma vulve, ce n'était que désir.

Un couple vint dîner un soir à la maison et passa même la nuit. J'étais allé me coucher, un peu fatiguée tout de même quand l'homme vint cogner à ma porte. Il était nu et bandait déjà et me dit que nous allions faire l'amour ensemble. Je ne savais que répondre. Cela faisait-il partie de notre contrat? Mon mari apparut à la porte et approuva d'un clin d'oeil. Après quelques caresses, je me mis en levrette et l'homme vint derrière moi pour me prendre. Il caressait mon ventre et mes seins et en pinçait les mamelons et je me dis qu'il avait été bien chapîtré car c'était tout ce qu'aimais faire. Mais son membre allait et venait dans mon ventre et bientôt je fus inondée de son foutre.

En rouvrant les yeux je vis mon mari et la femme, tous deux assis sur le côté du lit qui nous regardaient faire. C'est bien? me dit mon mari. J'approuvais et il dit à l'homme qu'il pourrait le refaire s'il le désirait. Mais il ne le désira point. Il y avait toujours du monde le week-end et des hommes qui me faisaient l'amour. Mais il en venait aussi dans la semaine et j'étais toujours prête à les recevoir. Certains étaient plus vicieux que d'autres, dont celui qui m'avait attaché les seins aux barreaux du lit et cet autre qui passa la nuit à me sodomiser. Mon ventre et mes seins grossissaient sans cesse et je ne m'habillais plus, accueillant nos visiteurs toute nue, mes seins plein de lait écrasés sur mon ventre. Tout le monde me touchait, épouses et maris, tout le monde caressait mon ventre et mes seins, flattaient ma vulve et me faisaient jouir debout.

Petit à petit je me mis à désirer faire l'amour avec une femme. Elles me caressaient, suçaient mes seins plein de lait. Ma vulve avait envie d'elles. Mais ce ne fut pas le cas cette fois-là. La sage-femme me rendait visite toutes les semaines et disait que tout allait bien. Mais un soir je perdis les eaux et on l'appela en vitesse. J'accouchais devant tous, accroupie, soutenue sous les bras pendant que mon enfant prenait vie entre ses bras. Dire que j'avais attendu si longtemps pour un tel plaisir. Tous me regardaient. Mes seins bourgeonnaient de lait. J'allais donner le sein pour de vrai. Je donnais le sein mais j'en avais beaucoup trop. J'avais des seins de nourrice et on avait prévu une pompe mais ce soir-là je régalais tout le monde. Tour à tour, hommes et femmes vinrent se nourrir à ma source. Ça me soulageait et j'étais fière. D'avoir accouché naturellement, je n'avais presque rien senti et la douleur n'avait pas duré. Les mains tapotaient mes fesses et me flattaient pendant que j'abreuvais l'assistance.

Je ne repris mes délices que deux mois plus tard. Nous avions décidé que je serais de nouveau pleine et je ne recevais que la semence de mon mari. Les autres hommes éjaculaient sur ma figure, sur mes seins, sur mes fesses. Je les suçais et avalais leur sperme. J'avais aussi commencé à prendre et être prise par des femmes, avec de faux-sexes qui me pénétraient ou les pénétraient. Ce que j'aimais était qu'elles me forcent avec des godes immensément larges ou bien encore de les embrasser à pleine bouche. C'était autre chose qu'avec les hommes qui ne voyait ça que comme une mise en bouche avant de me prendre dans la gorge.

Le bonheur arriva rapidement et j'avais hâte que mon ventre soit le plus gros possible le plus vite possible et mes seins à l'avenant. Faire l'amour c'est meilleur quand on est enceinte. Les hormones vous transcendent et on est en manque tout le temps. Désormais libérée, la ronde repris et je me mis à faire les couples, la femme en soixante-neuf tandis que le mari me prenait où bon lui semblait.

Avec mon mari, avant de faire l'amour, nous regardions les vidéos qu'il avait tourné pendant que je me donnais et nous en faisions des commentaires, notant mes prestations. Dire que pendant si longtemps j'avais ignoré cet immense plaisir. Je me masturbais autant que possible avec mon gros ventre puis il prenait le relais. J'étais devenue une belle salope, assoiffée de sexe et de plaisir. Une belle pute dit un jour mon mari.

Cette fois-ci j'étais pleine d'un garçon et d'une fille, des jumeaux si bien que mon ventre était vraiment énorme et excitait davantage les mâles qui venait me prendre. J'étais vraiment monstrueuse. La plupart du temps je vivais à quatre pattes ou couchée sur le côté. Quand j'étais debout, mes seins dégueulaient de chaque côté de mon ventre. J'étais femme, j'étais femelles. J'étais dans mon élément.

D'avoir des jumeaux ça fatigue et je devais souffler, aussi arrêtâmes nous de recevoir des amants. Mon mari tente de calmer les désirs de mon corps. L'amour seulement une fois par nuit ne calme absolument pas mes besoins aussi je me contente de godes. Je pense et réfléchis et quand on pense on se rend vite à l'évidence. Je suis une vraie pute même si nous ne faisons pas payer. Aujourd'hui j'ai quarante-six ans et je m'occupe de nos trois enfants. Ils sont encore trop jeunes pour comprendre combien leur mère a besoin de cette vie. Je vis la plupart du tempsnue. D'ailleurs quand mon mari rentre, il me fait retirer mes vêtements. Dans les beaux jours, je vis nue dans le jardin et dans la piscine. Nous pourrions pu vivre en Afrique. Si j'en étais capable je ferais des enfants autant que je peux. Je n'ai besoin que d'une chose, le membre qui me force, la semence qui me féconde. De temps en temps, je supplie mon mari de faire venir un amant, pour rassasier mes besoins. Il le fait. L'autre semaine j'ai joui parce qu'on me fessait avec une baguette.

Mon mari a mis la machine en route et il n'y a pas de raison pour que ça cesse. Je sais qu'entre nous deux ce n'est pas entièrement de l'amour. Je l'aime parce qu'il m'a révélée et m'a fait découvrir le plaisir, qu'il a laissé mes sens percer la croûte de mon ignorance. Je me rends bien compte que mon attitude peut paraître provocatrice mais c'est ce que j'aime. J'aime mon corps, j'aime l'amour, j'aime céder au désir. Comme pour ces piercings sur les lèvres de ma vulve ou ce tatouage que j'ai maintenant sur le sein gauche, cette guirlande de fleur qui entoure mon aréole et qui me fait rougir de plaisir. Comme ce premier fisting qui m'a donné mon plus bel orgasme. Comme cet homme qui m'a percé les deux seins avec une longue aiguille. Comme mon mari qui me suspend par les seins au lustre jusqu'à ce que mes pieds touchent à peine le sol. J'ai enfin de vrais seins de femme et mes mamelons arrivent sous mon nombril.

J'aime satisfaire plusieurs hommes à la fois, couchée sur l'un qui me prend dans la vulve, l'autre qui me sodomise et le troisième qui me prend dans la bouche pendant que je branle deux autres amants. J'aime les voir se masturber et jouir sur mon corps. J'aime avoir du sperme sur le visage, dans mes cheveux. J'aime me masser la poitrine avec. 

J'aime être forcée comme quand ils m'ont forcée à prendre un godemiche de dix centimètres de diamètre dans l'anus. J'aime qu'on m'avilisse comme quand un couple fait l'amour à côté de moi et qu'ils m'interdissent de faire quoi que ce soit! J'aime qu'on me ligote et j'aime le cuir s'il me soumet. 

Quand on sort, je mets des décolletés qui ne cachent rien de mes seins et des robes si courtes qu'elles ne cachent rien de mes fesses. J'ai gardé mes longs cheveux châtain que je roule en chignon et je suis si poilue que ça va de mon nombril jusqu'au haut de mes fesses. Et mes aisselles sont pareil. Je ne les ai plus rasées depuis mon divorce.

Mon mari a fait de moi une vraie pute et m'a permis de me révéler. Comment aurai-je pu savoir tout ce que je sais aujourd'hui s'il n'avait pas été là, s'il ne m'avait pas prise cette première fois dans ce parking, s'il n'avait pas été capable de me révéler, de faire jaillir tous mes besoins, mes désirs. Je suis aussi une vraie salope qui se caresse même au restaurant.
Par Amarylia - Publié dans : Histoires de sexe
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